Étiquette : PAU – marcher aux côtés des pauvres et des exclus
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Le pape « lanceur d’alerte » : le regard d’un jésuite au Bureau International du Travail (BIT)
Pierre Martinot-Lagarde, jésuite français, parle pour le Courrier Pastoral à Genève de son rôle au Bureau International du Travail (BIT) et parle de l’image du Saint Père au sein du BIT.
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Les neuf traits de l’apostolat social ignatien par Jérôme Gué
On croit connaître l’apostolat social. Mais en quoi est-il ignatien ? Le Frère Jérôme Gué sj propose sa réponse en neuf caractéristiques. Un constat, mais surtout un programme. Dans notre bonne vieille famille ignatienne, de nombreuses personnes s’intéressent aux enjeux sociaux. Au hasard, je cite quelques beaux engagements : un retraité du Mouvement Chrétien des Cadres gère une…
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Hommage au P. Eric de Rosny sj
Eric de Rosny sj est décédé le 2 mars 2012. Il a vécu une cinquantaine d’année en Afrique, notamment à Douala. Témoin privilégié de l’évolution de la société camerounaise, il fut un chercheur infatigable, tant sur les pratiques des guérisseurs que sur les nouveaux mouvements religieux.
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Pedro Arrupe, un cœur touché par la misère des gens
Pedro Arrupe est né en 1907 à Bilbao. Cadet de cinq enfants, il est plein de vie, il aime la musique. Porté par une famille qui respire la foi, il s’engage à onze ans dans une Congrégation Mariale (ancêtre de la Communauté de Vie Chrétienne).
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Témoignage du P. Robert Rush sur Pedro Arrupe
J’étais jeune jésuite en formation lorsque j’ai rencontré pour la première fois Pedro Arrupe au Japon, en 1953. Je l’ai connu par la suite comme Provincial, puis Général et comme ami, au Japon et à Rome où je fus assistant régional d’Asie orientale. Je fus aussi le seul témoin de sa thrombose cérébrale à l’aérodrome…
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Les jésuites à Madagascar
Depuis l’arrivée à Tananarive des premiers jésuites, il y a 150 ans, qu’en est-il de la présence de la Compagnie aujourd’hui à Madagascar ? Récit du P. Nicolas Pesle sj.
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Portrait : P. Maurice Gounon sj
Ecoutons-le : « L’accueil commence forcément par un sourire, un préjugé favorable, le faire asseoir, lui offrir à manger. Ayons pour ce « millième » un regard neuf. Considérons-le comme l’unique, le premier absolu… »