Vous souhaitez profiter de l'été pour vous ressourcer, vivre des temps fraternels et vous mettre sous le regard de Dieu ? Les cinq centres spirituels jésuites vous accueillent seul, en famille ou en groupe, que vous soyez jeune, célibataire, en couple, en famille, retraité, religieux(se), ... et vous proposent diverses activités dont voici une sélection.
Dans un centre spirituel, les lieux de prières sont au cœur de nos préoccupations. Si le site de Penboc’h invite naturellement à
Avec l'architecte d'intérieur et peintre Dominique Pollet, entrons dans la contemplation du vitrail Isaïe, réalisé pour l’un des oratoires du Centre spirituel jésuite de Penboc’h.
"Pourquoi pleures-tu ?" Que répondrions nous à Jésus si, comme à Marie-Madeleine, il nous posait aujourd'hui la question ? Le P. Clément
Pour le Carême, le Centre spirituel jésuite Coteaux Païs propose, chaque dimanche, une méditation autour d'une œuvre d'art qui illustre l'Evangile.
Tout au long de l'Octave de Pâques qui se déroulera du 5 au 11 avril 2021, faisons notre la compassion de Jésus. Pour ce faire, les jésuites de Bruxelles et le Réseau Mondial de Prière du Pape en Belgique, nous proposent de vivre une retraite en ligne ou en présentiel, intitulée : « Pâques, un Chemin du Cœur ».
Alors que nous vivons cette année le carême dans un contexte de pandémie, le père Clément Nguyen sj nous invite à vivre une fraternité de proximité, de façon bien réelle, de près comme de loin. Dans le secret de nos prières, de nos gestes de tous les jours, laissons Dieu agir au travers de nos cœurs en les tournant vers le Royaume.
Une fois par an, en janvier, a lieu une rencontre des trios directoriaux (Directeur-Président-Supérieur) des Centres spirituels de la Province. Cette année,
La première sorte, nous la connaissons bien : c’est le fardeau qui pèse, qui est pénible – c’est sa définition. En ce moment, on peut même avoir l’impression qu’il nous écrase. Comment se relever après cette deuxième vague d’épidémie qui met un coup d’arrêt à l’activité économique du pays ? Que faire s’il y a une troisième vague ? L’incertitude de l’avenir – on ne peut guère voir au-delà de quinze jours – est intenable, au point de nous paralyser. On est comme sidéré.
Le père Michel Kobik, jésuite, membre de l'équipe du Centre spirituel jésuite Le Châtelard nous apporte un éclairage sur la manière
